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Balthaur

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  1. Merci @Mouchi, j'ai failli oublier. C'est vrai, il vous reste 7 mois par rapport à la date historique... Par rapport à août 1944, l'Allemagne occupe pourtant moins de territoire soviétique qu'à cette même période historique. Sur le front de l'est, du moins. En revanche, France, Italie et Libye sont encore à l'axe. Il a fallu plus d'un an aux soviétiques pour atteindre la ligne fortifiée, au terme de moult combats d'arrière garde. Cette ligne est par ailleurs très inégale. Tant qu'elle ne claque pas...
  2. Complément de cette session : Front de l'est : Le soviétique semble quelque peu démoralisé face à ses propres pertes et suite aux efforts titanesques qu'il fournit pour rompre le front. Pourtant, il a réussi à arracher aux roumains un lambeau de forêt aux environs de Vinitza. Le Reich ne pouvait fortifier ce territoire sous contrôle d'un allié. En urgence, il a fallu lancer des travaux là ou c'était possible pour s'assurer un minimum de sécurité. En effet, à l'ouest, la menace d'un débarquement se précise (plus de 24 divisions britanniques ont été répertoriées à Southampton) et des renforts vers l'est ont été peu à peu détournés vers l'ouest. Le seul recours, face à l'accroissement de la pression soviétique, c'est la fortification vu l'incertitude du lieu de débarquement prévu à l'ouest et les effectifs considérables qu'il faut y consacrer. Le front est, lui, se résume à un écran de troupes de première ligne, quelques unités rapides en second échelon pour renforcer les secteurs qui menacent de céder, et le maintient de la quasi totalité de la panzerwaffe. Le front de la Duna a réussi à tenir, nouvellement renforcé de fortifications à son tour, mais au nord le Minsk, la position défensive peut être attaquée depuis cinq côtés différents... En matière de guerre aérienne, la situation est au point mort. Il est cependant possible d'affirmer que soviets et britanniques subissent le contrecoup de leur stratégie défensive aérienne, ne construisant que de la chasse au détriment de leur aviation d'attaque. Une tentative de débarquement sur Mourmansk a échoué, les unités du Duce ayant réussi toutefois à prendre pied à proximité du port sans avoir réussi à le capturer au terme de quelques semaines de lutte acharnée. Lybie : Le front est un balai permanent d'unités terrestres qui prennent et reperdent des secteurs de pierres et de sable en avant de Bengasi. Heureusement, le corps de Manstein rétablit et même parfois menace de destruction nombre d'unités britanniques. Et toutes ces opérations sont menées sous un ciel intégralement ennemi. La perte de Malte par les anglais reste un atout pour le Duce, car il permet à ses troupes de se ménager un couloir de ravitaillement du front Libyen où il est aventureux d'y engager des navires ou des avions. - guerre sous marine : De nouveaux submersibles de qualité font leur apparition, mais la défense de la Home Fleet reste efficace : certains secteurs sont impossibles à infester... Mais les dégâts en navires de commerce restent élevés. - guerre aérienne : Une période de combats très soutenus s'est déroulée dans les cieux du Benelux. L'ampleur des pertes a obligé le Reich à rompre sous peine de risquer la destruction de son aviation de chasse (le combat a commencé à 1-1, soit 3100 FW-190 incomplètement entraînés opposés à 3300 Spitefull). Chaque camp perdait entre 100 et 150 appareils par jour, mais les effectifs britanniques restaient constants tandis que ceux de la Luftawaffe se sont mis à fondre une fois les réserves épuisées, malgré un léger avantage. Grosso modo, si l'on prend en compte l'aviation soviétique, le rapport de force est environ de 3 contre 1 au minimum. En revanche, grande nouvelle : les nouvelles escadrilles de Me 262 font de vrais ravages dans l'aviation stratégique alliée qui s'aventure au dessus de l'Allemagne.
  3. Complément de compte rendu : Front de l'est : Des attaques allemandes visant à gagner encore un peu de terrain sur le Pripet ont échoué. Les nouvelles attaques soviétiques sur la Duna et à l'ouest de Bobruisk ont également échoué. Seul succès notable, la prise d'une "tuile" sous contrôle roumain, à l'ouest de Kiev, au terme de combats particulièrement sanglants. Plusieurs tentatives de franchissement du Prout ont échoué grâce à la présence d'excellentes PzGr de l'autre côté du fleuve. La Luftwaffe a essayé de reprendre le contrôle de l'espace aérien au dessus de l'Ukraine, mais c'est en vain : le soviet y a construit tant de bases aériennes qu'il s'assure une supériorité numérique par trop avantageuse. Le soviétique pèse de plus en plus fortement sur la ligne de défense, mais il n'a pas l'exclusivité de l'initiative, car l'Allemagne peut elle aussi, encore lancer des attaques. Quoiqu'il en soit, les pertes Rouges en mode offensif sont singulièrement plus lourdes. Front africain : Toujours pas de changements notables de la situation. Monty a eu cependant une belle suée lorsque tout un corps blindé tomba en panne de carburant à la suite d'une contre attaque de Manstein qui manqua de peu de prendre ses arrières et de l'anéantir. Mais la défense antichar britannique est terrible et il faut du temps pour désorganiser les défenses. Temps mis à profit pour les chars lourds anglais de se replier en arrière du front et se réorganiser. - guerre sous marine : Pas de changement notoire. Le tonnage de navires coulés par les U-Boat est d'au moins 100 unités par mois. En revanche, la Méditerranée orientale est un abattoir à submersibles. - guerre aérienne : Les britanniques se mettent à jouer au jeu du chat et de la souris : ils investissent un espace aérien, et le temps que les avions de la Luftwaffe se mettent en place, ils en profitent pour en abattre quelques unités de plus avant de s'enfuir ailleurs au fur et à mesure que la balance des pertes s'inverse.
  4. Compte rendu de la dernière session : sept 1943 - 4 janvier 1944 Front de l'est : De nouvelles tentatives soviétiques de franchissement de la Dvina ont échoué. Au centre, une attaque allemande a réussi à grignoter une nouvelle portion du marais du Pripet, le russe n'ayant pas cherché à la préserver. Il faut dire que cette pointe avancée aurait été coûteuse à défendre, vue la distance la séparant de son nœud de ravitaillement. En Ukraine, pas de gros changements. Les pertes soviétiques sont passées à 1 800 000h, celles de l'Allemagne n'ayant quasiment pas bougé (voisines d' 1000 000). En revanche, la guerre aérienne est sauvage. Seul, un ratio de force à 1 contre 3 (en faveur du Rouge) lui permet de tenir l'espace aérien au dessus de l'Ukraine, mais au prix élevé de 50 à 100 avions perdus par jour (idem pour l'Allemagne, pertes qu'elle ne peut pas supporter, sachant qu'il faut aussi se battre à l'ouest). Front africain : La lutte s'est poursuivie en Cyrénaïque trois mois durant. Toutes les tentatives britanniques pour encercler ou isoler Benghazi ont échoué. Les troupes italiennes se battent vaillamment, aux prix de lourdes pertes. Le corps blindé de Manstein intervient souvent pour refouler les irruptions ennemies dans la ligne de défense. Il est clair que la perte de Malte complique sérieusement la tâche des Alliés. - guerre sous marine : Pas de changement notoire à l'ouest. Un tonnage conséquent de navires de transport est expédié par le fond. - guerre aérienne : à noter un puissant retour offensif de la Luftwaffe au dessus du Bénélux qui a causé de sérieuses pertes à la RAF. Egalement, à noter l'apparition du premier avion fusée de type Komet.
  5. Compte rendu de la dernière session : 2 juillet à sept 1943. Front de l'est : - marqué par des offensives importantes de l'Armée Rouge, notamment sur le front nord, de Riga à Vitebsk. Cette ligne, non fortifiée dans son ensemble, a vu surgir des vagues successives d'assaillants motivés. Quelque peu ébranlé, le front a tenu bon, notamment grâce à des renforts mécanisés retirés du secteur de Minsk. - front centre : de Minsk à Bobruisk, quelques combats furieux se sont déroulés. Sans résultats pour le soviet. - Front sud : au sud de Kiev, de nouveaux combats se sont déroulés à la limite de la zone occupée par la Roumanie. Un secteur fortifié a failli lâcher, mais une vigoureuse contre attaque de PzD tenus en réserve a fait échouer cette tentative. Globalement, l'initiative est passée au soviétique, à l'exception d'une attaque d'un corps blindé de Guderian qui a pris aux russes une nouvelle portion du marais du Pripet. La guerre aérienne est toujours coûteuse dans les deux camps, mais seulement si le rapport de force est à 3/1 en faveur des russes. Autrement, les pertes sont nettement c^té soviétique. En matière d'effectifs terrestres, il faut compter 3 divisions soviétiques pour une allemande. Front africain : De nouvelles tentatives italiennes pour s'emparer de Gibraltar ont échoué ; la garnison du rocher tient bon. En Lybie, la poussée de Monty se poursuit : Tobrouk est tombée au terme de combats sanglants. Le ravitaillement passe mal pour les forces de l'axe, et le ciel est intégralement ennemi. Les contre attaques des PzD de Manstein ont réussi à provoquer la destruction de plusieurs divisions américaines spécialement aventurées, et ce, en coordination avec l'armée du Duce. Mais globalement, le recul est inexorable, le rapport de force trop écrasant. La grande base de Benghazi est menacée, vu que la moitié de la Cyrénaïque est envahie. - guerre aérienne et guerre sous marine : Pas de changement notoire à l'ouest. La tendance est au redressement du rapport de forces à l'est. Récapitulatif des pertes : GER : 1 000 000 (URSS), 84600 (Ouest) ITA : 632 000 (ouest) 27000 (URSS) URSS : 1 600 000 (Allemagne) 23 000 (Italie) UK : 261 000 (Italie) 245 000 (Allemagne) Pour info : Roumanie : 570 000; USA : 731 000; Vichy : 389 000
  6. Compte rendu complémentaire. - front de l'est. Peu de choses à ajouter. Les soviétiques grignotent peu à peu les territoires perdus en 1941, les PzD et les PzGr s'efforçant de gagner du temps pour l'organisation Todt afin qu'elle construise une solide ligne de défense, soit en avant de Minsk, soit au sud de Kiev. D'ailleurs, l'Armée Rouge n'a pas osé se lancer contre ces nouvelles défenses bien garnies en excellentes troupes de fantassins bien équipées. L'Allemagne n'a pas encore perdu l'initiative, mais la pression soviétique commence à se faire sentir. - front africain. La poussée britannique, un moment contenue, a permis d'enlever les positions au sud et à l'ouest de Tobrouk. Mais la place forte est encore imprenable malgré des efforts qui ont réussi à grignoter quelques montagnes à l'est de cette grande base. Le corps blindé de Manstein a été retiré du front pour réorganisation. Une tentative de débarquement Allié au Maroc a été repoussée. De nouvelles tentatives du Duce pour s'emparer de Gibraltar ont encore échoué. Mais le fruit mûrit... - guerre aérienne. Sur le front ouest, les bombardements alliés continuent et se font durement étriller chaque fois qu'un objectif sort du rayon d'action des escorteurs. Front est, la Luftwaffe refait son apparition et combat vaillamment soit en Biélorussie, soit en Ukraine. A noter qu'en Biélorussie, bien que la région soit largement couverte par le rayon d'action des avions de chasse, l'efficacité des missions est systématiquement ramenée à 45%. Ce n'est pas faute d'avoir un radar, pourtant. En Ukraine, en revanche, l'efficacité des missions est de quasiment 100% avec des ratios de pertes corrects malgré un rapport de force pouvant aller à 1 contre 4. -guerre sous marine. La lutte est âpre : les britanniques souffrent beaucoup de l'attrition engendrée par l'activité sous marine. Gibraltar, assiégée, est la première place forte à en ressentir les effets, tandis que tout convoi à destination de l'URSS est devenu un pari risqué.
  7. Quelques précisions sur cette session : - front de l'est. Les choses ont peu évolué au centre du front : des combats ont lieu entre Minsk et Vitebsk et n'apportent pas de changements. Cependant, l'oblast de Bobruisk a perdu sa seconde grande ville, Salihorsk, au nord du Pripet. Au sud, dans le secteur de Kiev, les choses ont failli mal tourner pour les soviétiques. Dans un premier temps, des attaques de chars Rouges ont visé à donner de l'air au grand dépôt de Tcherkassy, constamment sous la menace d'un coup de main, et ont enregistré quelques résultats au termes d'efforts sanglants. C'est alors que la Wehrmacht lança une violente contre attaque sur les bords du Dniepr contre les troupes russes épuisées. Tcherkassy et son dépôt tombèrent aux mains des PzD. Mais il n'y eut pas l'effet escompté de manque de ravitaillement, les russes ayant manifestement paré à cette éventualité. En outre, un contre ordre stupide (un plan pas annulé...) rappela tout un corps d'infanterie sur sa base de départ, laissant la ville à prendre... Du coup, les PzD épuisées elles aussi, furent attaquées par le nord, l'est et le sud. Elles battirent en retraite à leur tour. - front africain. Cette fois, l'attaque britannique contre El Alamein (à 10 contre 1) emporta tout. Malgré des combats retardateur de la vaillante armée du Duce, il fallut se résoudre à abandonner tout le territoire Egyptien pour se retrancher aux alentours de Tobrouk. Les blindés de Monty s'engagèrent alors imprudemment entre désert et montagne. Le corps de Manstein, bien reposé, attaqua sur les arrières anglaises. Une retraite précipitée évita la destruction à tout un corps blindé, sauf une division qui fut coupée de ses arrières et anéantie. Vichy a été attaquée par les USA et s'est rangée aux côtés de' l'Axe. Le Duce dispose ainsi de bonnes bases au Maroc et en Algérie A noter une tentative italienne pour s'emparer de Gibraltar. Faute de coordination, elle a échoué. - guerre aérienne. Des formations de bombardiers de plus en plus nombreux pilonnent les territoires sous contrôle de l'Allemagne. La Luftwaffe repousse ces incursions avec un certain succès. -guerre sous marine. Aucun convoi n'est plus intercepté dans le grand nord. En fait, il semble que ceux-ci transitent par la méditerranée puis la Mer Noire. Plusieurs d'entre eux ont été interceptés par les U-boats nouveau modèle (Exemple : le convoi PQ-67 a perdu 31 navires...)
  8. Salut, normalement Pascal nous avait dit qu'il serait trop juste pour lui d'être là ce soir et qu'en l'occurrence, cette session serait annulée. Donc pas de souci Mouchi, rien n'était prévu ce dimanche.
  9. CR de cette 10e session. Pas grand chose de plus à ajouter au CR de Wstein. Si ce n'est une intense guerre aéronavale au cap nord, visant à couper les arrivages massifs d'avions fournis par les britanniques. En effet, le rapport est de 1 avion de la Luftwaffe contre 4 soviétiques. En gros, 1000 avions allemands sont opposés à 4000 "russes". Les pertes sont élevées de part et d'autre (entre 10 et 30 avions chaque jour, en Ukraine), mais dépassent la capacité de production des usines. A ce petit jeu là, impossible de prolonger la guerre aérienne, autant conserver ces appareils et s'en servir à bon escient. Sur le terrain, il n'est plus possible de faire attaquer les PzD sans soutien aérien. En tout cas, au cap nord, des dizaines de convois sont envoyés par le fond. L'intervention de la flotte de surface de la Kriegsmarine est payante. Les escorteurs britanniques sont repoussés, parfois coulés, et la flotte soviétique de Mourmansk a vécu. Reste à patienter pour obtenir les fruits de cette attrition sérieuse au flux de matières premières et de matériel. En Méditerranée, El Alamein est systématiquement attaquée par les troupes US qui se font écharper. Huit divisions de l'axe dont 3PzD tiennent tête à 50 divisions Alliées. Mais c'est au sud de la Sicile qu'un fait marquant a lieu : l'attaque de Malte. Préparée depuis longtemps par les marines du Duce et au terme d'une longue formation, l'assaut est donné au terme d'un blocus naval de plusieurs mois. La participation allemande est faible : une poignée de bombardiers , un millier de chasseurs et une brigade para. Affamées, les troupes anglaises succombent aux valeureux marines, au terme d'une lutte somme toute assez courte. Quatre divisions anglaises sont à rayer de l'ordre de bataille allié.
  10. A titre comparatif, la bataille d'El Alamein a causé la perte de 4900 h, 123 chars (tous types) et 349 matériels divers. Les Alliés y ont laissé de leur côté, 13980h, 141 chars (tous type) et 1262 équipements divers (armes, camions, canons etc). Tandis que pour Kiev, les valeurs sont bien différentes : - côté Allemagne : 24 350 h , 1000 chars, 1665 équipements divers. - côté soviétique : 46809 h, 782 chars, 4066 équipements divers. La perte plus élevée en chars côté allemand s'explique par le fait qu'il s'agit d'un combat urbain. Pour les russes, la perte de chars est due également au type de terrain lorsque les tentatives ont été menées par des divisions blindées pour endiguer la progression allemande. Inversement, les russes ont perdu plus de canons. L'impact de l'aviation a été négligeable : la présence massive d'avions soviétiques a annulé celui du support aérien. Sachant qu'il s'agissait d'un assaut frontal mené contre un ennemi retranché et vu le ratio de pertes à l'avantage de l'Allemagne, ont peut encore dire qu'à ce stade de la guerre, les troupes de la Wehrmacht sont de meilleure qualité.
  11. Pas grand chose de plus à ajouter au rapport du soviétique, si ce n'est que l'aviation allemande dispute le ciel en nette infériorité numérique (entre 800 et 1000 avions contre 2700 russes) et enregistre malgré tout un très bon ratio de pertes. Et en Egypte, une puissante attaque britannique sur El Alamein a failli réussir. Mais les PzD de Manstein ont tenu bon, infligeant de lourdes pertes. De part et d'autre, les combattants reprennent leur souffle.
  12. Compte rendu de la 8 e session : mi janvier 1942 à mai. Afrique : La situation est au point mort. Les divisions US (de l'IA...) attaquent en vain El Alamein et se font écharper. L'Anglais, plus sagement, attend un moment plus propice. D'autres soucis l'occupent, notamment la préservation de l'île de Malte. La pression aérienne est terrible, et, malgré une période difficile, la RAF résiste avec efficacité. Un assaut aéroporté combiné avec un débarquement de marines du Duce a échoué. A plusieurs reprises, la Reggia a affronté la flotte de secours appareillée d'Alexandrie. Le match est nul, malgré des pertes dans les deux camps. Front Est Au centre, la situation est quelque peu stabilisée à l'est de Minsk. Les gains allemands sont faibles et les contre attaques soviétiques ne donnent rien. Toujours ces problèmes de ravitaillement qui grèvent les efforts de la Wehrmacht. C'est alors qu'un rapport consternant arriva sur le bureau du führer : les travaux sur les voies ferrées destinés à rallier Kaunas-Vilnius-Baranovitch-Minsk présentaient un vice : la partie (50 km seulement) Kaunas-Vilnius n'avait pas été améliorée. Tout le reste était mis aux normes maximales, sauf ce tronçon... Pas étonnant qu'il y ait eu des problèmes de supply... Du coup, les opérations du haut commandement se limitèrent à chasser les russes de leurs nombreuses têtes de pont sur la rive gauche de la Dvina. Dans l'affaire, Daugapils manqua de peu d'être capturée d'un coup de main, mais l'affaire tourna court par la suite d'arrivée de renforts massifs expédiés de toute urgence par le Stavka. C'est plus au sud que les choses ont encore le plus évolué. En effet, dans ce secteur, les problèmes logistiques étaient en passe d'être résolus. L'offensive reprit, malgré l'hiver, la neige, le froid, et puis la boue. Le grand dépôt de Jitomir, assailli par le sud, tomba, privant l'armée Rouge de ravitaillement dans tout le secteur. Une poussée initiale refoula les soviétiques aux portes de Kiev, puis les PzD se rabattèrent en direction du sud ouest. Quelques unités soviétiques tournées furent anéanties. Puis ces mêmes PzD firent volte face vers Kiev à nouveau. Le Stavka ordonna un repli partiel d'unités très enfoncées à l'ouest dans le marais du Pripet, sous peine de risque d'encerclement. Mais cette énorme protubérance existe toujours, dont la base est Gomel-Boruisk à l'est, et s'arrête un peu avant Pinsk à l'ouest. Sa largeur n’excède pas 60 Km alors que la longueur en fait presque 150. Plus de 30 divisions soviétiques y sont solidement retranchées... Côté aérien, toujours le même scénario : à 1 contre 2, les chasseurs de la Luftwaffe mettent en déroute les avions soviétiques.
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