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Collectionneur

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  1. Bonjour. Petite question. Sur quel page trouve t'on la version d'essai ? Je ne le voit pas sur le site cold war 2 ni sur Steam.
  2. Collectionneur

    Cold War 2

    Bonjour. J'ai transmit le mot sur Air Defense :) Mais je ne voit plus ou l'on développe la technologie Metal Gear...
  3. Collectionneur

    Cold War 2

    Bon réveillon à tous, et que 2019 vous soit propice
  4. Ne pas oubliez la ''guerre des polices'' avec l'Agence. Le FBI s'occupe de contre espionnage mais avait également un réseau en Amérique Latine jusqu'a la création de la CIA, parait que Hoover n'a pas aimé que l'on coupe les ailes dans le coin.
  5. Collectionneur

    Cold War 2

    Bonjour à tous. Passage après une longue absence J'indique juste un e en trop à l'event ''éliminez les contre révolutionnaires'' en jouant coté chinois: La grande campagne a été lancée ! Les experts soviétiques nous ont aidé à mettre en place notre propre système de goulag : le Lao-Gai. Les ennemis de classe qui n'ont pas été exécutés sont envoyés en camp de rééducation par le travail. Les membres importants du KMT qui nous avaient rejoint sont au contraire traités avec honneur et égards. Déjà des hauts dignitaires du régime de Taïwan nous ont fait part de leur désire de revenir en Chine continentale. Je signale également un article qui peut vous intéressez sur le ''retour'' de familles réfugiés en Occident venant de l'ex empire russe après la Seconde Guerre mondiale. On peut peut etre imaginé un event ou les conditions de retour sont corrects donnant une + à l'économie du pays et en prestige au lieu de ce gâchis ? : https://www.romandie.com/news/ZOOM-Au-B-larus-l-histoire-oubli-e-des-enfants-de-France-rapatri-s-en-URSS/950220.rom Au Bélarus, l'histoire oubliée des "enfants de France" rapatriés en URSS Quand elle a embarqué dans un bateau pour l'URSS il y a 70 ans, Ianina Statchko était loin de s'imaginer qu'elle ne reverrait plus son pays natal: la France. Cette retraitée de 88 ans vivant au Bélarus fait partie de ces "enfants de France", comme les a surnommés la presse bélarusse, emmenés par leurs parents qui avaient cru aux sirènes de la propagande soviétique et répondu à la vague de rapatriement lancée par Moscou. A leur arrivée en URSS, ils ont perdu leur nationalité d'origine, découvert le dénuement et, pour les moins chanceux, la répression politique. "J'aurais pu bien sûr accomplir plus de choses en France qu'ici. Mais il est évidemment trop tard pour revenir. J'aimerais revenir au pays, retrouver notre maison. Et peut-être voir Paris… Je n'ai jamais été à Paris", soupire Ianina Statchko, rencontrée par l'AFP dans une ferme de l'ouest du Bélarus, près des frontières polonaise et lituanienne. Comme de nombreuses autres, sa famille est arrivée en France en 1929, en provenance de Pologne, pour pallier le manque d'ouvriers dans les mines du Nord alors paralysées par des grèves. "En France nous vivions bien. Nous avions une maison que mon père avait obtenue de la mine", se souvient l'octogénaire. - Arrestations dès l'arrivée - Mais son père, après la Deuxième guerre mondiale, perd son travail. Et la région bélarusse dont il est originaire est rattachée à l'URSS. Commencent alors des discussions dans le foyer, qui lit la presse soviétique et sa propagande. A l'époque, l'URSS entreprend une grande campagne de rapatriement: prisonniers, travailleurs forcés, réfugiés de guerre soviétiques; mais aussi immigrés et exilés ayant fui après la révolution bolchévique. En 1952, les statistiques soviétiques estimaient à 4,3 millions le nombre de rapatriés - déplacés de guerre et anciens exilés - venus principalement d'Europe continentale (Allemagne, Autriche, Roumanie, France, Pologne, Italie) mais aussi du Royaume-Uni et même des États-Unis. "Mon père a finalement dit qu'il souhaitait rentrer à la maison. Mais moi, personne ne m'a demandé mon avis", raconte Ianina Statchko, qui était devenue couturière en France. En 1948, la famille quitte Marseille pour Odessa, en Ukraine, avec 2.800 autres rapatriés. "Nous voyagions comme des ouvriers, en troisième classe. Des personnes en première et deuxième classes emmenaient avec eux leur voiture, d'autres leurs biens, certains laissaient en France une entreprise. Il y avait des médecins, des ingénieurs, des enseignants...", énumère Ianina Statchko. A l'arrivée, les passagers des première et deuxième classes subissent immédiatement la répression stalinienne. "Ils les ont arrêtés et ont confisqué leurs biens", résume la vieille dame, dont la famille, privée de passeports français, est transportée dans des wagons à bestiaux au Bélarus. Devenu employé d'un kolkhoze, son père ose un jour s'exprimer: "Lors d'une réunion de paysans, mon père a craqué et s'est mis à gronder le président (du kolkhoze). Il a pris un an de prison pour +subversion contre la collectivisation+". "Nous avons été très effrayés et nous sommes restés silencieux. Où aurais-je pu étudier? Pendant cette période, on essayait juste de vous faire taire. J'envoyais des lettres en France mais j'ai arrêté parce que nous avions peur", poursuit Ianina Statchko. - Retrouvés par la France - Grâce à une machine à coudre française miraculeusement conservée, la famille de Ianina survit à la faim et aux maigres rations d'après-guerre. Jusque dans les années 1970, elle coud des robes à la mode française des années 1940. En 1973, la France retrouve la trace de son père et lui verse jusqu'à sa mort, puis à sa femme, une retraite confortable pour son travail dans les mines françaises. Mais avec la dislocation de l'URSS, la trace de ces anciens Français se perd dans les années 1990. En janvier dernier, la presse locale bélarusse fait resurgir l'histoire de Ianina Statchko. Début juillet, elle est invitée à l'ambassade de France à Minsk avec une dizaine d'"enfants de France" et leurs descendants. De l'ambassadeur français, l'ancienne couturière a obtenu la promesse d'un dernier voyage dans le village du nord de la France où elle a vu le jour il y a près de 90 ans.
  6. Collectionneur

    Cold War 2

    Juste république pour la Nouvelle Guinée
  7. Collectionneur

    Cold War 2

    Bonjour. Petit message pour signalé trois gaffes sur le scénario 1980-1985 avec Reagan. Il y a des forces franco-britanniques en Libye, un contingent américain encore en Autriche, et quand la Papouasie Nouvelle Guinée devient indépendante 1985, elle est classée comme monarchie constitutionnelle.
  8. Collectionneur

    Cold War 2

    Jamais réussi pour ma part.
  9. Collectionneur

    Cold War 2

    Sur le jeu tuto 45-85, en octobre 1962, j'ai relévé deux fautes de frappes ç Ailleurs dans le monde : L'université du "Mississipi" accueille son premier "étdudiant" noir
  10. Collectionneur

    Cold War 2

    Merci encore pour ton travail. Pas le temps de terminé, boulot cette nuit.
  11. Collectionneur

    Cold War 2

    C'est dans ETAT DU MONDE ET ACTIVITES ENNEMIES Tout les mois, j'ai : Vietnam : renforcement du vietcong
  12. Collectionneur

    Cold War 2

    Et j'ai vu le drapeau du Sud Viet Nam sur la liste des actualités Event Jeux Olympiques La polémique est vite retombée et notre gouvernement n'a pas cédé à la solution de facilité d'un boycott. C'est au contraire parceque la tension est à son comble qu'il faut maintenir le contact et les relations. Notre participation à ces jeux devrait permettre de faire retomber la tension.
  13. Collectionneur

    Cold War 2

    Bonsoir. Je commence juste le scénario avec Reagan. Une faute de frappe signalé dans l'évent ''le plan Volcker'' La machine s'est emballée, il faut lui donner un coup d'arrêt ! La Réserve Fédérale vien tde relever fortement ses taux d'escompte et le montant des réserves obligatoires des banques.
  14. Collectionneur

    Cold War 2

    Bon courage Rien remarqué d'autres au cours de la partie mais j'avais encore les yeux fatigués. Dix de travail de nuit, cela commence a peser.
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