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  1. Histoire récente Les premières décennies semblent marquer la domination des tribus Lusitani, Astures et Carpetani et Vascones, qui prennent des territoires sur leurs voisins les plus faibles. Les Aquitani, tribu gauloise, soumettent également les tribus paléo-ibères autour de Saguntum, face aux Baléares. En 511, le territoire est quasi intégralement partagé entre les principales tribus de la région. Rome s’est implantée dans les Baléares en octobre 509 suite à la guerre de continuation contre Carthage. Cette dernière est particulièrement passive en Hispanie. Les Aquitains s’implantent un peu plus, mais leur territoire est particulièrement éclaté et vulnérable. La situation change radicalement en à peine quarante ans. Carthage soumet les Oretani et les Bastetani. Les Astures contrôlent fermement le quart nord-ouest de la péninsule ainsi que Saguntum tandis que Rome est entrée par le nord-est en réduisant les Vascones à leur territoire d’origine. Entre ces trois puissances, les Carpetani apparaissent en fâcheuse posture. Dès 553, en l’absence d’espace pour s’étendre sans s’affronter, Astures et Carpetani entrent en guerre. En 558, Carthage profite de ce conflit pour attaquer à son tour les Carpetani qui n’ont pas les capacités de tenir sur deux fronts face à de tels adversaires. Carthage s’étend considérablement et en vient à border les Astures, annonçant un conflit prochain. Les Astures, pris dans une guerre civile, signent une paix blanche avec leur ennemi. Les Ilergètent se libèrent du jour Carpetani à la faveur du conflit, pour aussitôt être conquis par Rome dont le territoire atteint l’Ebre en mars 563. En 564, Carthage conquiert Saguntum sur les Astures. Toutefois, la cité punique sombre dans la guerre civile. Un de ses magistrats, Eshbaal Mattanid, a instauré une dictature et renversé le régime républicain, provoquant une réaction puis une révolte menée par Hannibal Gisco. C’est la première des guerres civiles qui vont réduire en cendres Carthage et son empire. La guerre civile carthaginoise donnent un peu d’air aux tribus celtibères qui récupèrent quelques territoires sur Carthage. Rome réduit en 571 les Aquitains à leur seul territoire d’origine et s’empare de leurs terres en Hispanie. Profitant de la guerre civile, l’ambitieuse île de Chypre conquiert l’ancien territoire Bastuli dans le sud de la péninsule. Le sénat romain exige des conquêtes en Hispanie, entraînant une guerre contre les Carpetani entre 596 et 600 qui se solde par l’imposition d’un tribu sur les Celtibères. Les Astures profitent de l’intervention romaine pour conquérir des territoires de leur côté. La position centrale des Carpetani joue clairement en leur défaveur. La frontière entre Rome et les Astures, toujours plus longue et sous tension, n’entraine pas de conflits, pour le moment. Les Astures sombrent dans une brutale guerre des clans en 613, au moment même où Carthage pose de nouveaux les yeux sur l’Hispanie. Le résultat est sans appel, Carthage s’étend considérablement vers le nord, au point de border le territoire de l’Hispanie romaine. En 619, dans un contexte plus large de rébellion des tributaires romains, les Capretani déclarent la guerre à Rome, mais sont remis dans l’obéissance l’année suivante. Rome est à l’époque occupée loin à l’est et laisse le champ libre à Carthage pour s’étendre. Les Astures en paient le prix fort sont réduits à un tout petit territoire frontalier à Rome et Carthage, synonyme d’une durée de vie très courte. Les Carpetani, protégés par Rome, sont épargnés. Carthage entre progressivement dans une phase très instable, les guerres civiles et révoltes se multiplient et le laps de temps entre chaque période de trouble est de plus en plus court. Les Carpetani en profitent pour reprendre quelques territoires, tandis que Rome conquiert quelques villes au nord. Carthage ne peut virtuellement pas s’opposer à ces conquêtes. A partir des années 710, l’instabilité à Carthage est telle que Rome est en mesure de débaucher des gouverneurs de province et de les faire passer au service de l’Empire. La conquête de l’Hispanie par Rome et son allié Carpetani est ainsi une combinaison d’opérations militaires et d’opération de séduction de gouverneurs peu scrupuleux. Entre 710 et 713, Rome conquiert la majeure partie de la côte atlantique de l’Hispanie. Surtout, la flotte carthaginoise, troisième flotte de méditerranée, est intégralement coulée au large des colonnes d’Hercules. La cité punique ne sera jamais en mesure de la reconstruire. Les Carpetani font face à un soulèvement des Astures en 752, soulèvement qui fait long feu face aux armées romaines puis celtibères. Rome acquière toutefois deux provinces appartenant initialement à son client, au motif d’y maintenir l’ordre. Quelques années plus tard, les Carpetani cessent de payer le tribut à l’Empereur. En 762, il est ordonné aux armées romaines d’entrer en territoire celtibère et d’en commencer la conquête, la paix est signée en 765. Parallèlement, Carthage poursuit son effondrement, accéléré par les défections de ses magistrats à Rome. Chypre perd son territoire en Hispanie au profit de l’Egypte. En 781, l’Empereur Publius lance une campagne contre l’Egypte, à laquelle les Carpetani ont commis l’immense erreur de s’allier. La défaite de l’Egypte Setnide deux ans plus tard entraîne également l’écrasement des Carpetani, réduit à un tout petit territoire totalement encerclé par Rome et sans aucun espoir de contact avec un autre Etat. Les Carpetani sont définitivement annexés par l’Empereur Galerus, y menant les troupes en personnes, en 789. La situation en 843 AVC (90) La réforme nicienne a donné à l’Hispania cinq provinces : Tarraconensis, Galicia, Lusitania, Baetica et Carthaginensis. Les gouverneurs de ces provinces sont nommés par le Sénat avec un veto possible de la part de l’Empereur. Chaque province dispose d’une armée provinciale sous le commandement du gouverneur. La romanisation est faite sur à peu près la moitié du territoire. Rome a établi plusieurs colonies dans la région : la cité Grecque d’Emporion, devenue Emporium, Tarraco, Caronium (La Corogne), Aeminium (Coimbra) ainsi que dans les Baléares. La Tarraconensis est organisée en civitas, la Galicia et la Lusitania le sont partiellement. Le reste du territoire est encore découpé selon les bases tribales précédant la conquête romaine. Cultures La romanisation de la région n’est que très partielle. Quatre cultures non-indoeuropéennes sont présentes : les Vascones (Basques), les Paléo-ibères, les Lusitani et les Turdetani. Les Celtibères représentent la majorité du territoire. L’ensemble de ces cultures peuvent se romaniser en « hispano-romain » qui peut ensuite de nouveau éclater en cultures « galician » (Galicien), « leonese » (Léonaise), « castillian » (Castillane), « portugese » (Portugaise), « aragonese » (Aragonaise), « catalan » (Catalane), « andalusian » (Andalouse). La culture celtibère peut éclater selon les mêmes modalités, mais en donnait des cultures appartenant à un groupe différent, prenant le nom de « celto-culture » : celto-galician, celto-leonese, celto-castilian, celto-portugese. L’évolution se fait géographiquement : un seigneur « celtiberan » indépendant peut basculer vers l’une des autres cultures selon sa localisation géographique. Les territoires sur son contrôle basculent progressivement. Cela signifie par exemple qu’un seigneur contrôlant le nord-ouest (donc basculant « galician ») peut diffuser cette culture sur une large zone, y compris sur celle déclenchant théoriquement une autre culture (s’il contrôle des terres au futur Portugal, elles basculeront « galician » et non « portugese »). Des zones (et personnages) « celtiberan » peuvent basculer « iberan » au fil du temps, pour peu que le tout reste unifié sous un seigneur « celtiberan » indépendant. Les hispano-romains suivent la même évolution mais avec un plus grand délai. Les Vascones, Lusitani, Turdetani et Paléo-ibères peuvent évoluer vers une version « modernisée » de leur culture non-indoeuropéenne s’ils ne sont pas romanisés ou assimilés par un « celtiberan » devenu « iberan ». Les Vascones évoluent en « basque », les Lusitani en « lusitanian » ou « vettones », les Turdetani en « turdetanian » et les paléo-ibères en « bastetan », « contestan », « edetan » et « ilergetan ». Tous sont également basés sur la géographie et se diffusent, et tous font partie d’un même groupe culturel regroupant les cultures paléo-ibériques dans leur ensemble. Si Rome perd le contrôle de la région et qu’aucun acteur ne parvient à unifier les peuples, elle peut rapidement se fragmenter en plusieurs cultures indépendantes. Religions Le panthéon romain domine largement la région. Le duidisme celtibère arrive en deuxième position mais n’est pas « expansionniste » et ne se diffusera pas (sauf cas exceptionnel : seigneur zélé avec de bonnes stats et de culture non romanisée). Les panthéons carthaginois et égyptiens sont présents du fait de l’histoire, mais sans réels soutiens extérieurs. Ils sont probablement condamnés. Il existe enfin trois paganismes directement liés à une culture correspondante : paléo-ibère, turdetani et lusitani. Si la culture correspondante se diffuse dans une province, la religion change instantanément (sauf panthéon romain). Ces paganismes sont toutefois largement condamnés, tout particulièrement le paganisme lusitanien réduit à Castra Cecilia (Caceres). Les colonies en cours de développement mais inachevées à Portus-Magnus (Almeria) et Castra Cecilia sont susceptibles d’accélérer la romanisation de la région. Défis et zones à surveiller/jouer Les minorités paléo-ibères peuvent être sympathiques à jouer dans une optique de « dernier survivant » d’une culture ou d’une religion. Les gouverneurs romains ont intérêt à développer les institutions romaines dans leur province, et donc de veiller à la romanisation progressive des élites locales. Diffuser le culte romain et coloniser sont des options viables, mais coûteuses en temps et en moyens au delà des deux colonies déjà en développement. Un chef tribal peut avoir intérêt à coopérer avec Rome pour acquérir du pouvoir, et pourquoi pas après romanisation de sa tribu/famille d’intégrer la vie politique romaine et monter en grade. Ou au contraire, lutter contre l’envahisseur et le chasser pour unifier une partie du territoire sous sa bannière.
  2. Histoire récente Les premiers mouvements d'unification tribale ont lieu en Hibernie. L’Hibernie est pour la première fois unifiée en 522 AVC (-231) par l’un des chefs tribaux de la région. Le royaume tribal qui en est issu domine pour un temps l’île de Britannia en en contrôlant la partie centrale. Son rival dans le sud de Britannia, la tribu des Catuvellauni, proclame son chef roi de l’île de Bretagne en 557 (-194) et entreprend en réaction la conquête progressive des deux îles. Peu avant l’arrivée de Rome, le royaume contrôle l’île de Bretagne en majorité (seuls les Pictes sont indépendants) ainsi que quelques territoires en Hibernie, le royaume régnant sur cette dernière ayant périclité. Rome entre en conflit avec Britannia pour la première fois en 596 (-157), ceux-ci étant alliés des Carpetani dont le Sénat romain exigeait alors la soumission. L’année suivante, une opération militaire dans l’île de Bretagne est montée par les généraux Titus Vesuvius Varo, assigné à la défense du littoral gaulois, et Marcus Aemilius Paullus, envoyé par le Consul sitôt celui-ci informé des intentions de Varo. En 601, Rome annexe la côte sud de l’île et le royaume de Bretagne devient un tributaire de Rome. En 614 (-139), la Bretagne se soulève contre Rome, dans un contexte plus large de rébellions au sein des clients de la république doublés de soulèvement barbares en Gaule. En 616, la paix renouvelle le tribut et acte la renonciation de Britannia aux terres conquises par Rome. En 642 (-111), la première colonie romaine est fondée à Cantii. En 688 (-65), deux amis et alliés politiquement, le général Marcus Aemilius Marullus et le gouverneur romain de Britannia Decius Silius Leptis, planifie la conquête de territoires sur un royaume de Britannia en très mauvais état. En proie à l’instabilité politique, le royaume entre en guerre civile l’année suivante. Rome joue sur les deux tableaux, combattant rebelles et loyalistes pour son plus grand profit. En 693 (-60), Rome acquiert la moitié de l’Hibernie sur les rebelles et réduit le territoire loyaliste à leur capitale et la Calédonie conquise sur les Pictes. Britannia profite de l’instabilité frappant l’Hibernie romaine en 697 (-56) pour se lancer à la reconquête de son territoire perdu. A l’issue de cette guerre, seule Trinovantes, oppidum capitale du royaume de Britannia, reste libre. Le reste est conquis par Rome qui unifie l’Hibernie. En 704 (-49), un soulèvement mineur de Britons est écrasé sans difficultés. Trinovantes est conquise en 706 (-47) unifiant Britannia. En 745 (-8), une colonie romaine est fondée en Tiberni, Colonia Septima. La situation en 843 AVC (90) La réforme nicienne a donné à la Britannia et l’Hibernia trois provinces : Hibernia, Britannia proper et la Caledonia. Les gouverneurs de ces provinces sont nommés par le Sénat avec un veto possible de la part de l’Empereur. Chaque province dispose d’une armée provinciale sous le commandement du gouverneur. La romanisation est lente sur l’ensemble du territoire, mais s’est effectuée très rapidement dans le sud de l’île, conquis très tôt. Deux colonies existent, une en Britannia proper (Cantia) et une en Hibernia (Colonia Septima). Seule la côte sud est organisée en Civitas selon le modèle romain. Le reste du territoire suit encore les démarcations tribales et reste rythmé par les querelles entre chefs de clans. Ces querelles ont l’avantage détourner les tribus de la remise en question le pouvoir romain, généralement bien perçu en raison des développements urbains qu’ont apporté les envahisseurs. Cultures L’Hibernie est divisée entre les différentes cultures mythiques d’Irlande : Cruthin, Gaels, Laigin, Fir Damnann et Builg. Difficile de savoir si ces cultures ont existé, mais j’ai préféré apporter un peu de variété. L’unification sous la culture « irish » peut se faire de trois manières : - un roi d’Hibernia d’une des cultures mythiques est indépendant : les cultures des territoires sous son contrôle basculent progressivement vers « irish » - par l’unification religieuse chrétienne : un personnage souverain d’une des cultures mythiques et de religion chrétienne adoptera la culture « irish », idem pour des territoires suivant cette configuration - par transfert depuis la culture hiberno-romaine : des personnages de cette culture n’ayant pas de suzerain romain (ou l’Empire en suzerain) ou étant eux-mêmes indépendants et au moins duc adopteront la culture « irish » et la diffuseront à leur territoire. Britannia est, contrairement à l’Hibernie, unifiée culturellement. C’est une simplification historique certainement abusive, mais c’est mon choix. Les Britons sont amenés à éclater entre différents ensembles : « welsh » (gallois), « cornish » (de Cornouailles), « cumbric » (Cumbrien) et une hypothétique « briton » représentant une évolution de la culture « brythonic » (les Britons sur la carte en début de partie). L’évolution se fait géographiquement : un seigneur « brythonic » indépendant peut basculer vers l’une des autres cultures selon sa localisation géographique. Les territoires sur son contrôle basculent progressivement. Cela signifie par exemple qu’un seigneur contrôlant le sud (donc basculant « cornish ») peut diffuser cette culture sur une large zone, y compris sur celle déclenchant théoriquement une autre culture (s’il contrôle des terres au Pays de Galles, elles basculeront « cornish » et non « welsh »). Des zones (et personnages) « brythonic » peuvent basculer « briton » au fil du temps, pour peu que le tout reste unifié sous un seigneur « brythonic » indépendant. Les brito-romains suivent la même évolution mais avec un plus grand délai. Religions Rien de très compliqué ici : les druidismes celtes sont localisés et le panthéon romain se diffuse lentement. Les druidismes ne sont pas des cultes « expansionnistes » et ne se diffuseront probablement pas (sauf cas exceptionnel : seigneur zélé avec de bonnes stats et de culture non romanisée). Points d'intérêt Les gouverneurs romains ont intérêt à développer les institutions romaines dans leur province, et donc de veiller à la romanisation progressive des élites locales. Diffuser le culte romain et coloniser sont des options viables, mais coûteuses en temps et en moyens. Il peut aussi être intéressant de maintenir la division entre tribus pour ne pas voir son pouvoir contesté... Un chef tribal peut avoir intérêt à coopérer avec Rome pour acquérir du pouvoir, et pourquoi pas après romanisation de sa tribu/famille d’intégrer la vie politique romaine et monter en grade. Ou au contraire, lutter contre l’envahisseur et le chasser pour unifier une partie du territoire sous sa bannière.
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